Deux offres d’achat acceptées pour la même maison c’est un cas très rare, mais pourtant c’est ce qui est arrivé à deux acheteurs québécois. L’agente immobilière Mélanie Bergeron nous donne son avis.
Lors de l’émission le Québec maintenant, l’animateur Patrick Lagacé mentionnait un article du Journal de Montréal qui expliquait qu’un vendeur avait fait signer une promesse d’achat à son premier acheteur quatre minutes après l’heure limite de 21h, mais qu’il avait finalement donné cette promesse à son deuxième acheteur.
Une histoire qui s'est conclue devant les tribunaux, un cas extrême selon l’agente immobilière.
«Il y a aussi eu gain de cause, donc ils vont être obligés de lui vendre la maison. C’est quand même une saga judiciaire assez impressionnante.»
Elle explique d’ailleurs que le processus de signature n’avait probablement pas commencé à 21h04, mais bien avant et que des raisons, tel que le délai électronique, aurait pu être créer ce retard.
«Ce n’est pas comme s’il avait accepté le lendemain et que le délai était expiré, ça c’est selon moi, c’est mon humble avis.»