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Procès de la belle-mère de la fillette de Granby : «Je l'ai attachée bien comme il faut»

Procès de la belle-mère de la fillette de Granby : «Je l'ai attachée bien comme il faut»
Photo admise en preuve au procès / Sûreté du Québec
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Au procès de la belle-mère de la fillette de Granby, les textos de l'accusée ont été dévoilés au tribunal.

Le matin du 29 avril 2019, elle a envoyé un message disant que la fillette s’était encore enfuie, qu’elle avait réussi à se détacher.

Elle ajoute, 3 heures avant le drame, qu’elle l’avait «attachée bien comme il faut».

«Je l'ai attachée bien comme il faut.»
Message texte envoyé par l'accusée
«Elle [la fillette] fait son gros numéro, elle crie, elle pleure elle essaie de se lever, mais elle ne peut pas»
Message texte envoyé par l'accusée
«Je n’ai pas à subir ça, je ne suis plus capable.»
Message texte envoyé par l'accusée

Deux heures mystérieuses

Ce dernier message a été envoyé à 9h20. L’appel au 911 est entré à 11h30 lors de cette même journée du 29 avril 2019. On ne sait toujours pas ce qui s’est déroulé pendant ces deux heures.

Rappelons que la belle-mère fait face à des accusations de séquestration et meurtre au deuxième degré.

Témoignage des experts

En après-midi, le chimiste André Tremblay est venu témoigner concernant les analyses réalisés sur le ruban adhésif ainsique la tuque et les ciseaux retrouvés dans la chambre. avant d'être longuement contreinterrofé par la défense.

La biologiste Sophie Houde a très brièvement commencé son témoignage en fin de journée.

Notre journaliste Alexis Samson est au palais de justice pour suivre le procès.

14e jour de procès

Jour 13, témoignage du petit frère de la fillette : «je l'aimais beaucoup ma soeur, je ne voulais pas qu'elle soit morte».

Jour 12, témoignage majeur et bouleversant du fils de l'accusée : la fillette était «momifiée» dans du ruban adhésif.

Jour 11, le procès a été suspendu pendant toute la journée en raison de problèmes techniques.

Jour 10, une intervenante de la DPJ est venue raconter son intervention la journée du drame.

Jour 7-8-9, témoignage à huis clos

Jour 6, un voisin est venu témoigner que la fillette a tenté de s'enfuir dans les heures précédant le drame.

Jour 5, l'enquêteur en scène de crime est venu montrer au jury la «carapace» de ruban adhésif.

Jour 4, le technicien en scène de crime est venu expliquer que des cheveux ont retrouvés dans l'amas de ruban adhésif «moulé».

Jour 3, l'ambulancière a terminé son témoignage en disant croire que la fillette avait «un retour de pouls» rendu à l'hôpital.

Jour 2, l'ambulancière Karianne Royer est venue témoigner de son intervention d'urgence, racontant que la fillette n'avait plus de pouls à son arrivée.

Jour 1, les policiers impliqués sont venus témoigner de l'état dans lequelle la fillette a été découverte.

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