Les usines à animaux domestiques sont encore fort populaires.
Écoutez la chroniqueuse Geneviève Pettersen qui fait référence à un article du Devoir qui traite d’une femme qui a laissé son logement dans un été pitoyable en y abandonnant un chat, au micro de l’animateur Luc Ferrandez.
«Ce qui m'a frappé là-dedans, c'est que, bien sûr, elle vivait là dans des conditions pas possibles avec ses quatre enfants, mais aussi, elle élevait des animaux. Elle élevait plus précisément des chats de Bengale. C'est une race super populaire, ça ressemble en fait un petit léopard, un chat magnifique», dit la chroniqueuse.
Ces chats se vendent entre 1 500 $ et 2 000 $.
«Au Québec, on est les champions de ça. Il faut arrêter d'appeler ces gens-là des éleveurs. Ces gens-là ne font rien pour les animaux, ils ne font pas de tests de santé, ils ne vont pas chez le vétérinaire, ils ne donnent pas de vaccins. Donc c'est très, très payant.»