Au panthéon des personnages maudits de l'histoire, peu de ces «monstres humains» ont suscité autant de fascination que Erzsébet Bathory. On raconte qu'au début du XVIIe siècle, la Bathory aurait assassiné plus de 600 de ses domestiques, et ce, dans d'horribles tortures. La rumeur soutient que la comtesse, obsédée par sa beauté ― et terrifiée à l'idée de vieillir ― aurait tué de jeunes femmes vierges pour se baigner dans leur sang. Elle était apparemment convaincue que l'hémoglobine de ses victimes agissait comme une fontaine de jouvence. Certains accusent également la comtesse de s'être adonnée au vampirisme et la sorcellerie, s'entourant de complices aussi débauchés que cruels. Comme dans le cas de ses alter ego, Gilles de Rais ou Vlad Dracula, la vie de la comtesse Bathory est devenue une légende où la frontière entre la réalité historique et les fantasmes littéraires est particulièrement nébuleuse.
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Précieusement conservée dans le cathédrale de Turin (Italie), cette longue pièce de lin est connue depuis le Moyen Âge. Elle montre l'image ventrale et dorsale d'un homme portant toutes les marques de la crucifixion. Pour les Chrétiens du monde entier, cette relique serait l'authentique linceul du Christ ; le linge funéraire qui aurait enveloppé le corps du Christ lors de la mise au tombeau. Mais la science est indépendante des croyances. La position des scientifiques qui se sont intéressés au «vénérable objet» apporte des réponses surprenantes et ébranle les convictions.
Selon la légende, à l'été de 1947, un « disque volant » se serait écrasé dans le désert, près de la petite ville de Roswell, au Nouveau-Mexique. Les militaires d'une base locale seraient rapidement intervenus, récurant l'aéronef accidenté ainsi que ses «passagers» : des créatures humanoïdes de petite taille aux yeux bridés. L'engin et ses occupants auraient depuis disparu dans le labyrinthe des secrets de l'armée. Depuis plus de 75 ans, « l'incident de Roswell » a alimenté les plus folles rumeurs. Si les militaires affirment à présent qu'il ne s'agissait que d'une méprise avec un ballon atmosphérique, d'autres continuent de crier à la mystification. Dans les années 1990, un film montrant l'autopsie de l'une de ces créatures extraterrestres a fait la manchette. Était-ce la pointe de l'iceberg ou une énième supercherie ?
Il existe dans l'univers du paranormal de nombreuses rumeurs à propos de «machines à explorer le temps». L'une d'elles a été baptisée le Chronoviseur. À en croire la légende, cet appareil aurait été mis au point par des ecclésiastiques travaillant sur ordre du pape Pie XII. Ces religieux ― les pères Agostino Gemelli et Pellegrino Ernetti ― auraient développé un appareil semblable à un téléviseur sur lequel il était possible de regarder en direct les grands événements du passé : de la crucifixion du Christ au suicide d'Hitler. Tombé entre de mauvaises mains, le Chronoviseur aurait pu devenir une arme contre «le monde libre». C'est pourquoi, au lendemain des premiers essaies, le souverain pontife aurait ordonné son démantèlement. Les composantes du Chronoviseur seraient toujours conservées dans quelque réserve secrète du Vatican.
En 2015, près de Nazca (au Pérou), des pilleurs de tombes découvrent dans un labyrinthe sous-terrain des momies de tailles variées. Certaines sont de taille « normale », d'autres sont plus petites, de la taille de poupées d'enfants. Les caractéristiques principales sont des mains (et des pieds) à trois doigts et des crânes déformés en forme de melon. Ces momies vont se retrouver entre les mains d'entrepreneurs qui s'empressent de les qualifier «d'extraterrestres». À les en croire, ces créatures seraient d'anciens visiteurs venus de planètes lointaines qui auraient entretenu des liens avec les anciens peuples de l'Amérique précolombienne. Pour les archéologues et les historiens, il s'agirait plutôt de pillage et de mutilations de restes humains anciens. Qui dit vrai ?
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