La chronique de Paule Vermot-Desroches dans le Nouvelliste met en lumière le témoignage bouleversant de Jérémie Dorval, un homme en situation d’itinérance dont le campement près de l’amphithéâtre Cogeco a été démantelé.
Balayé de façon brutale et mal planifiée, il a perdu ses biens essentiels dont le manteau de son père décédé, sans avertissement.
Au-delà de son histoire personnelle, la discussion entre Steve et Valérie porte sur un système qui déshumanise les personnes itinérantes. Ils questionnent également la responsabilité municipale dans la gestion des camps.
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