La ville de Trois-Rivières ne permet pas à ses pompiers de s'entraîner entre deux appels, pendant leur quart de travail, dans les casernes.
Selon le Nouvelliste, on est même allés jusqu'à confisquer des équipements sportifs.
Dans une communication interne dont le journal a obtenu copie, il est écrit que le sport et l'entraînement pendant les quarts de travail ne cadrent pas dans les objectifs du service, pour des raisons de respect de normes de santé et de sécurité.