Les tarifs que les États-Unis veulent imposer sur les importations d'acier et d'aluminium, à compter du 12 mars prochain, laisse planer une certaine inquiétude sur plusieurs entreprises de la région, dont l'Aluminerie de Bécancour et Alcoa à Deschambault-Grondines.
Selon l'adjoint au directeur québécois du syndicat des Métallos, Nicolas Lapierre, ne pense pas que les entreprises de première ligne seront fortement touchées.
Mais il ajoute que l'instabilité est l'ennemi du développement, dans le secteur de l'aluminium.