Le ministère de l’Environnement se range derrière la ville de Shawinigan dans son projet d’implantation de mesures transitoires, dans le dossier de la station de traitement de l’eau du Lac-a-la-Peche.
La ville continuera d’acheter des membranes de filtration au coût de 3 millions de dollars par année, en attendant qu’une solution permanente soit mise en place. Selon le maire Michel Angers , idéalement ça prendra entre 5 et 7 ans avant que le problème ne soit réglé.
Le maire affirme qu’il n’était pas question que la ville recommence à chlorera l’eau, en attendant la solution permanente.
On sait que la réfection de l’usine coûtera au moins 80 millions de dollars, mais pour le financement, le ministre régional Jean Boulet n’a pas voulu s’avancer sur la part qui sera assumé par le gouvernement provincial.