Entraîneur-chef des Lions de Trois-Rivières un jour, entraîneur-chef des Voltigeurs de Drummondville le lendemain : la semaine d’Éric Bélanger a été tout, sauf banale.
Bélanger a démissionné pour des raisons personnelles de son poste d’entraîneur avec les Lions (ECHL), filiale des Canadiens de Montréal, mardi soir, et il a été embauché par les Voltigeurs (LHJMQ) le lendemain.
Au micro de l’animateur Mario Langlois aux Amateurs de sports, l’ancien joueur de la LNH a commenté cette semaine – et les dernières – assez hors normes au plan personnel.
« Assez rocambolesque. J’ai attrapé la COVID début novembre… Une pneumonie la semaine dernière… Navigué à travers le fait que j’ai annoncé à Marc-André (Bergeron) que je quittais mes fonctions. Après ça, j’ai parlé à Philippe (Boucher) pour le poste d’entraîneur des Voltigeurs. Tout s’est passé très, très vite, mais aujourd’hui, je suis sain avec ma décision et très excité pour mon nouveau défi. »
« J'étais confiant du geste que j'allais poser. Je me disais que c'était une belle opportunité pour moi. La ECHL, ce n’est pas une ligue facile. On a eu beaucoup de roulement de personnel. Et puis, le congédiement de Steve Hartley (à Drummondville) a allumé une lumière. »
Bélanger estime que l’expérience fut salutaire avec les Lions.
« Ça m'a assagi... C'est sûr que je serai jamais beige derrière un banc. Je veux garder ma couleur parce que c'est ce qui a fait mon identité de joueur de hockey. »