Une étudiante étrangère, faussement accusée de plagiat, poursuit l'UQTR pour une somme de 150 000$.
Elle accuse notamment l'établissement de l'avoir ruinée économiquement, moralement et psychologiquement.
En 2019, l'université avait mis fin, de façon unilatérale, à sa thèse, alors que 50 000$ devait encore être versée à la jeune femme.
La seule réponse que l'étudiante a obtenue de la part de l'UQTR à ce moment, était que le lien de confiance entre elle et ses directeurs de thèse avait été brisé.
Dans sa requête, la jeune mentionne notamment avoir été lésée et humiliée par l'université.