5 ans après la disparition de Mélissa Blais, sa famille frappe un autre mur. Les ossements trouvés au Lac St-Jean ne sont pas ceux de la disparue.
La belle-soeur de Mélissa, Manon St-Pierre, a espéré jusqu'à l'appel de l'enquêteur au dossier, qui est venu hier.
Toutefois, quand une porte se ferme, une autre s'ouvre, alors que de nouvelles recherches auront lieu en fin de semaine dans la petite rivières-du-loup, aux abords du pont Masson.
Ce secteur du cours d'eau n'a jamais été fouillé en profondeur et le fait que des indices puissent s'y trouver est plausible.
Si les plongeurs font une découverte en fin de semaine, la thèse de l'accident pourrait revenir sur la table.
Une perspective que Mme. St-Pierre voit d'un bon oeil.
« Ce serait beaucoup plus facile à accepter un accident de la route [...] on pourrait fermer le livre. »