Le maire de Trois-Rivières, Jean Lamarche, se dit soulagé de la conclusion de l'enquête de la commission municipale sur les allégations de violence, racisme et misogynie autour de la table du conseil
La commission a conclue qu'aucun propos "misogynes" ou "racistes" n'ont été prononcés.
Elle explique également que le terme "violence" est exagéré, mais convient toutefois que les discussions entre les élus peuvent être houleuses, que le ton peut monter et qu'il y a des conflits de personnalités entre élus.
Cette enquête avait été déclenchée après que la conseillère municipale Pascale Albernhe-Lahaie aille dénoncé des propos du genre lors des séances à huis clos.
M. Lamarche admet tout de même que tout le processus va laisser des traces au sein de son administration.
« J'ai des gens qui redoublent de prudence et quand on redouble de prudence, ben souvent ça nous empêche de faire preuve de créativité, je le sais qu'au niveau organisationnel, ça va laisser des traces. »