Trois-Rivières est frappé de plein fouet par la pénurie de main-d'oeuvre, comme les autres municipalités du Québec.
À la pénurie, s'ajoute le nombre de départs volontaires, qui représente un ratio de 4,4% des employés totaux à Trois-Rivières.
La pénurie touche tous les secteurs d'activité, mais l'assainissement des eaux et le déneigement sont des secteurs en péril en raison du manque d'employé.
Le président de l'Union des municipalités du Québec, Daniel Côté mentionne d'ailleurs qu'il faudra agir vite, parce que des ruptures de services pourraient venir d'ici 5 ans.
Il présente quelques pistes de solutions.
« On pourrait d'abord travailler sur l'immigration, on pourrait aussi retenir sur le marché du travail nos travailleurs d'expérience et on pourrait aussi parler d'automatisation d'entreprise. Y'a 1001 solutions, si on commence pas quelque part, on arrivera jamais à un résultat. »