La grève des ingénieurs continue d'avoir des répercussions sur les entrepreneurs en construction.
Ils appellent maintenant Québec à se montrer compréhensif dans ce dossier puisque la pénurie de main-d'oeuvre occasionnée par la grève est en partie leur faute.
Mario Noël, propritéaire de Nobesco, à Trois-Rivières, explique que la grève lui a fait perdre 60% de ses employés et que le ministère s'attendait à ce qu'il puisse tout de même retourner sur le chantier le lendemain de la fin de la grève.
Il demande donc à Québec d'annuler les pénalités financières qui lui ont déjà coûté plusieurs milliers de dollars.