Une enquête menée par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse a permis d’améliorer les conditions de vie des jeunes qui séjournaient dans une unité de débordement de la DPJ Mauricie-Centre-du-Québec, à Drummondville.
En février, des intervenants de la Commission sont débarqués sans s’annoncer à l’unité de débordement. Les constats sont qu’il y surpopulation, que les espaces aménagés ne sont pas adéquats pour des jeunes qui ont besoin d’une certaine intimité, et qu’il manque de personnel.
Si la pénurie de main-d’œuvre ne s’est pas encore résorbée, le problème d’exiguïté des lieux a été corrigé au mois de mai.
La vice-présidente du mandat jeunesse de la commission, Suzanne Arpin, affirme que les médias ont joué un rôle important dans la mise au jour de cette situation.