Les milieux humides ont la cote!
La majorité des Québécois seraient prêts à payer le gros prix, soit un total de 280 M$, pour maintenir et restaurer ces milieux, selon une étude de l'Université du Québec en Outaouais.
L'étude démontre d'ailleurs que les habitants de la Mauricie sont prêts à débourser 42,95$ par personne.
Toujours selon le document, 83% des répondants ont mentionné être préoccupés par la perte des milieux humides.
Jérôme Dupras, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en économie écologique, de l'UQO démontre ce qui a changé aux yeux des Québécois lorsque vient le temps de parler des milieux humides.
« On a vue ces milieux-là comme des endroits qui font pousser des moustiques à, aujourd'hui, des endroits importants pour la lutte aux changements climatiques, on peut se protéger des inondations en protégeant ces milieux-là, finalement, les gens ont compris qu'une nature dans les régions habitées pouvaient fournir une foule de services »