Le manque de constables spéciaux et d'agents correctionnels au palais de justice de Trois-Rivières a entraîné la libération d'un homme qui faisait l'objet d'un mandat d'arrestation, hier.
Or, il n'y avait pas assez de constables pour maintenir les services.
Un problème de plus en plus récurrent selon Franck Perales, président du Syndicat des constables spéciaux du gouvernement du Québec.
« À Trois-Rivières on est presqu'à 50% de nos effectifs, on apprend au compte goûtes des départs des constables, j'ai appris qu'il y en avait 3 qui allaient partir.