Des moyens de pressions des contrôleurs routiers causent de sérieux mots de tête aux transporteurs scolaires.
Plusieurs autobus ont été interceptés dans les derniers jours parce qu'ils arboraient un pare-choc vert, théoriquement non-conforme selon une loi qui n'a jamais été appliquée.
Le président du groupe Guévin transporteur scolaire à Saint-Léonard-d'Aston Félix Guévin a vu une de ses conductrices être interceptée hier.
« Il a fallu que mon mécanicien se déplace là-bas et repeinture ce pare choc là. Et il a fallu faire la même chose avec tous nos autres véhicules, on en a à peu près 35 au total. Nos mécanos se sont occupés de ça aujourd’hui et hier pour qu’on soit réglementaires et qu’on se fasse pas encore arrêter. »
Les pare-chocs verts sont utilisés pour les autobus alimentés au propane. Au total, on en retrouve près de 1000 sur les routes du Québec.