Certains acheteurs en ligne ont trouvé une façon de faire encore plus mal aux commerçants.
Ce phénomène, décrié par la propriétaire de la boutique Belles de nuit belles de jour, Annie Hardy, consiste à se rendre en magasin, prendre les mesures d'un morceau de vêtement, l'essayer, pour ensuite le commander en ligne.
Mme. Hardy, qui vend notamment des soutiens-gorges ajustés, estime ses pertes à environ 1000$ par semaine, en raison de cette pratique.
Pour éviter que la situation se reproduise, elle exige maintenant 25$ pour les services d'ajustement et de conseil, expliquant qu'elle n'avait pas d'autres choix.
« C'est vraiment rendu un fléau, j'ai pas le choix de prendre action parce que si ça continue, dans quelques années je serai plus là...»