Les Québécois auraient intérêt à considérer le sirop d'érable comme un produit haut de gamme, au même titre que les vins en France.
C'est l'opinion du titulaire de la nouvelle Chaire de recherche industrielle sur les technologies acéricoles de l'Université de Sherbrooke, Jean-Michel Lavoie.
M. Lavoie dirige une équipe dont le but est de développer les technologies d'opération et de transformation du sirop.
En 2019, la production de sirop d'érable a entraîné des retombées de près d'un milliard de dollars au Canada.
Selon M. Lavoie, les Québécois sont assis sur une mine d'or, et ils ne le savent même pas.