Bernard Drainville suit de près les projets qui se dessinent pour que le Québec devienne un joueur important parmi ceux qui développeront les batteries pour les véhicules électriques.
La «filière batterie» moussée dans le discours inaugural du premier ministre François Legault, serait une affaire d'au moins deux à trois milliards.
« Ça va coûter cher aux contribuables et je veux qu'on sache dans quoi on s'embarque », lançait le chroniqueur, jeudi, au micro de Paul Arcand.
« Oui, on a les matières premières à partir desquelles on peut fabriquer les composantes de la batterie électrique (...) On est dans une course, le Québec, avec beaucoup d'autres nations qui souhaitent évidemment créer cette filière batterie chez eux parce que tout le monde voit bien qu'on s'en va vers la voiture électrique. »