Alain réagit au sondage du professeur de marketing à l'UQTR, David Crête auprès de 360 répomndants sur la personne en qui ils croient pour devenir maire. Il croit qu'une bonne partie des candidats sont au prise avec le « syndrome du candidat ». Ils pensent que la majorité des gens vont voter pour eux, même si ce n'est pas le cas.
Il croit d'ailleurs qu'il est trop tard pour les candidats de faire changer la perception des gens auprès d'eux en vue du vote du 2 novembre.
Écoutez la chronique d'Alain Rayes.