Steve et Valérie sont épuisés par la difficulté d’obtenir des entrevues avec la direction de la Société de transport de Trois-Rivières, qui passe désormais par une firme de relations publiques.
Tout ça initié par le projet pilote de bancs aux arrêts d’autobus, jugé inutilement coûteux (5 600 $ sans toit, 7 400 $ avec toit)
Alexis, lui, reste plus nuancé. Il reconnaît que les bancs sont trop chers pour ce qu’ils offrent, mais il relativise en disant qu’on « se fait moins avoir » que dans d’autres projets publics encore plus coûteux.
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