La promesse d’Irena est un film historique réalisé par Louise Archambault avec Sophie Nélisse dans le rôle principal.
Inspiré d'une histoire vraie, le fim prendra l'affiche dès le 19 avril.
«Mon beau-père est d’origine juive égyptienne et il a été expulsé jadis par Nasser en Égypte. Et donc, j’ai grandi là-dedans, c’est-à-dire dans l’ouverture ou la curiosité d’autres, d’autres religions, d’autres religions aussi, quand il y a des conflits. Et c’est un homme. Quand j’étais jeune adolescente, tu sais, il a étudié, lui, toutes les religions, à savoir c’est quoi la différence, c’est quoi la distinction? Maintenant, il se dit athée. Et puis, j’ai eu quand même assez tôt dans ma vie une réflexion sur l’autre, sur les conflits, sur qu’est-ce qui fait qu’on est on ou est-ce qu’on se retrouve et/ou est-ce qu’on est différent. Puis, au final, on est, on vit, on meurt. Qu’est-ce qu’on veut l’humain dans la vie? On veut aimer, être aimé, avoir notre dignité. Après ça, on n’a pas tous la même chance, on n’a pas tous le même parcours...» confie Louise Archambault.
Écoutez Catherine Beauchamp au micro de Patrick Lagacé alors qu'elle reçoit Sophie Nelisse et Louise Archambault pour La Promesse d’Irena.
«J’ai dû plonger dans beaucoup plus de recherches quand j’ai décidé d’entamer le rôle. Et j’ai trouvé beaucoup d’archives sur sa vie sur Internet, des photos d’elle dans sa vingtaine, beaucoup, beaucoup de vidéos d'elle en entrevue aussi un peu plus tard dans sa vie. Et ce qui m’a beaucoup émerveillé là-dedans, c’est à quel point elle était encore pleine de vie et tellement lumineuse. Elle était tellement rayonnante et attachante malgré tout ce qu’elle avait vécu. Et puis, c’était comme un des points majeurs que Louise et moi on voulait incorporer dans ce qu’on voulait ajouter en fait au scénario qu’on voulait qu’elle se fasse ressentir par le public.»