Aller au contenu

Des dettes ont causé la faillite de Juste pour rire

Des dettes ont causé la faillite de Juste pour rire
La chronique biologie / Cogeco Média

Près de deux semaines après avoir annoncé s'être placé à l'abris de ses créanciers, c'est une accumulation de dettes d'environ 12 millions de dollars qui est à l'origine de la faillite du Groupe Juste pour rire. 

L'entreprise québécoise avait été rachetée il y a cinq ans par Bell, le Groupe CH et la Creative Artist Agency, l'une des plus importantes agences d'artistes aux États-Unis.  


Écoutez le journaliste économique François Gagnon au micro d'Élisabeth Crête faire la lumière sur cette nouvelle qui a bouleversé le monde culturel québécois. 


Autres sujets abordés: 

  • Les experts ne s'entendent pas sur la manière dont on devrait renouveler notre hypothèque.
  • Le conseil fiscal de la semaine de François Gagnon: avec un problème de santé, on a peut-être droit au crédit d'impôt pour personne handicapée.

«Au cours des cinq dernières années, il faut dire qu'ils n'ont pas été chanceux. Il y a eu la pandémie, deux ans où ça a été déficit par dessus déficit. Quatre des cinq années ont été déficitaires. Alors quand tu traînes une dette, des pertes de 12 millions et que tu as de la difficulté à rembourser ta dette parce que quand tu achètes par dette, ça veut dire que tu prends ton levier, il faut que tu attendes de faire des profits pour être capable de rembourser ta dette.»

Abonnez-vous à l’infolettre du 106.9 Mauricie!Abonnez-vous à l’infolettre du 106.9 Mauricie!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Élisabeth Crête

«Il m'a dit: "Je demande rien, je fais ça gratuitement"» -Bernard Drainville
Il reste moins de 72 heures pour faire ses impôts
Rôle d'acteur dans une quotidienne : «C'est exigeant, mais tellement thrillant!»

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
Catherine le midi
En direct
En ondes jusqu’à 13:00