Écoutez Thomas Jolly, metteur en scène, au micro de l’animatrice Catherine Brisson à l'émission En coulisses, alors qu’il aborde la nouvelle mouture de Starmania.
Il n’a pas hésité à accepter l’offre de Luc Plamondon…
«C'est tellement fou pour moi quand j'apprends ça!», lance le metteur en scène.
«Parce que j'arrive, moi, du théâtre, je fais de l'opéra, je suis acteur de théâtre, je mets en scène du théâtre, je mets en scène de l'opéra. Et puis, quitte à faire une comédie musicale, même si Michel Berger ne met pas le mot de “comédie musicale” pour Starmania, c'est celle qui invente le genre en France en tout cas, qui est faite par des trentenaires dans la fin des années 70, qui invente un nouveau format, une histoire folle qui le joue à peine 30 fois, mais qui crée une forme de légende. Et puis parce que c'est dystopique, parce que c'est alternatif, parce que c'est rock, et puis parce que ça ne fait que parler de nous. Donc, j'étais le plus heureux des metteurs en scène à ce moment-là.»