Dune, deuxième partie, long-métrage et super production hollywoodienne du réalisateur québécois Denis Villeneuve, sera sur les écrans au Québec la semaine prochaine.
La chroniqueuse Catherine Beauchamp l'a vu en visionnement de presse et elle en parle avec Patrick Lagacé et MC Gilles, à l'émission Le Québec maintenant.
«J'ai vraiment bien aimé. J'ai été agréablement surprise parce que le premier volet de Dune, j'avais eu quand même du mal. Je trouve que c'est un grand morceau à assimiler, c'est-à-dire toute l'histoire des livres que je n'avais pas lus. Je n'étais pas fan de ce type de science-fiction. Donc, il faut que tu apprennes un peu l'histoire. C'est complexe. Ça a des allures de croisade religieuse.»
«Dans le deuxième, ce que je trouve très agréable, c'est qu'il y a beaucoup d'action. On est moins dans la spiritualité, moins dans l'introspection. Il y encore ça qui est là, mais dès que le film commence, les cinq premières minutes, c'est très enlevant. On nous tient captifs jusqu'à la fin du film.»
«Un film de deux heures et 47 minutes. Je ne me suis pas ennuyée une seconde. Ça passe très vite au cinéma et on est assez fidèle aux romans de Frank Herbert, si j'en lis les spécialistes de Dune.»
Et il y a de nouveaux personnages que Catherine Beauchamp nous présente.
Tout, finalement, pour attirer un jeune public qui suit les jeunes acteurs et actrices qui sont de la super production.
«Ça va être comme une espèce de nouvelle génération. C'est ça que je trouve intéressant avec cette lecture-là de Denis Villeneuve. Cela dit, c'est hautement maîtrisé. La lumière est absolument exquise. On est toujours encore dans ces tons ocre dans le désert, les couchers du soleil, la façon dont la lumière apparaît... Il y a une partie du film qui est en noir et blanc, aussi. Ça a des allures de pub d'Apple. 1984.»
On écoute Catherine Beauchamp...