La FIQ dénonce les «déplacements obligatoires» que Québec veut imposer aux infirmières, sous le vocable de la «flexibilité».
Selon le syndicat, ces mouvements de personnel auraient déjà entaîné plus de 200 démissions.
Cette question des déplacements obligatoires, pour répondre aux besoins des employeurs, est au coeur du litige qui persiste entre la FIQ et le gouvernement du Québec dans le cadre des négociations pour le renouvellement des conventions collectives.
En conférence de presse à Montréal, la fédération syndicale de 80 000 membres a présenté des exemples vécus par des infirmières.