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Dans la peau de Brandon Gignac

«Tout un stress de jouer un premier match pour les Canadiens» -Maxim Lapierre

«Tout un stress de jouer un premier match pour les Canadiens» -Maxim Lapierre
Maxim Lapierre / Cogeco Média

De voir le Québécois Brandon Gignac être le centre de l'attention a ramené toutes sortes de souvenirs à Maxim Lapierre.

Gignac, 26 ans, révélait en entrevue à Mario Langlois avoir un peu de misère à comprendre ce qui se passait en ce moment. 

Un rappel, un contrat, un premier match avec les Canadiens et, samedi face aux Stars, un premier match au Centre Bell.

Tout ça en quelques jours à peine.

«C'est intimidant. Quand tu reçois l'appel, tu sais que tu t'en vas dans une organisation qui a gagné des coupes Stanley. Tu penses à Maurice Richard, à Guy Lafleur, à tes parents, aux efforts que tu as faits. Tu penses à tes coéquipiers que tu vas rencontrer dans quelques heures et que tu ne connais pas. C'est stressant.

«Dans mon cas, Saku Koivu, je le regardais jouer tous les soirs dans mon salon. Là, J'arrivais, j'étais assis à côté de lui dans le vestiaire. C'est stressant. Tu dois prouver que tu es un bon joueur de hockey, que tu appartiens à la LNH. Tu ne veux pas décevoir tes parents, pas décevoir les partisans et tu veux faire bonne première impression aux médias. C'est tout un stress de jouer un premier match pour les Canadiens de Montréal.»

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