La pression. Elle existe dans tous les milieux. Dans toutes les sphères d’activités. Et au hockey, il n’y a probablement pas d’endroit où il y en a plus qu’à Montréal.
Au micro de Mario Langlois, Maxim Lapierre, qui n’a jamais eu peur de la pression, souligne qu’elle est essentielle à plus d’un égard.
«La pression. Je pense que c’est une belle chose. Il y a une façon de mettre ça de ton côté. Ces gens-là te poussent… C'est ces gens-là qui amènent l'émotion, la passion. Je l’ai dit durant la pandémie, sans les partisans dans les gradins, c'est la même, même affaire que ma ligue de bière le lundi et le mercredi. À part le calibre de jeu...»
Et il prend comme exemple Cole Caufield qui carbure à la pression.
«Regarde le profil de Cole Caufield. Il donne toujours son temps aux partisans. Il a toujours le sourire. Il a toujours du temps pour les médias. Lui, il aime ça avoir la pression de marquer tous les soirs et ça paraît dans son jeu.»
Maxim Lapierre se penche sur cet aspect de la pression en parlant de Jonathan Drouin, Connor Bedard et P.K. Subban.
On écoute Maxim Lapierre…