Les demandes d'aide augmentent, et à l'opposé, les banques alimentaires de la Mauricie doivent user de stratégies pour répondre aux besoins.
Et la situation se détériore constamment.
Le président de Moisson Mauricie-Centre-du-Québec, Jean Pellerin soutient que plusieurs éléments expliquent la tempête qui touchent les banques alimentaires, dont les épiciers qui diminuent leurs dons, et le fait que les banques doivent de plus en plus acheter de la nourriture.
Monsieur Pellerin constate que la clientèle a aussi changé.