Surprise, déception, tristesse et colère ; ce sont les émotions qu'a provoquées l'annonce du délai de deux ans pour les demandes d'aide médicale à mourir chez Sandra Demontigny, qui est atteinte d’alzheimer précoce depuis 2019.
La femme de 44 ans attend depuis longtemps pour faire une demande d'aide médicale à mourir.
Avec ce nouveau délai, elle craint que son état se détériore au point où elle ne sera plus capable de consentir au moment où les demandes anticipées pourront être faites.