Le Québec pourrait adopter un important changement de paradigme en matière de don d'organes.
Plutôt que de devoir quérir une preuve de consentement d'un patient décédé, on présumerait de son statut de donneur jusqu'à preuve du contraire.
Cette manière de renverser le fardeau vise à augmenter le nombre de donneurs et de prélèvements.
Le projet de loi 194 proposant la Loi instaurant une présomption de consentement au don d'organes ou de tissus après le décès a été déposé mercredi par le député de Pontiac, André Fortin.