Au palais de justice de Trois-Rivières, c’est la deuxième journée des audiences dans le cadre de la poursuite intentée par le Club Jockey du Québec contre le Grand Prix de Trois-Rivières.
Le nœud du problème est la servitude qui lie le Club Jockey au Grand Prix, pour l’utilisation des installations de l’hippodrome de Trois-Rivières.
La Cour Supérieure doit déterminer si le Grand Prix doit présenter ses activités à l’hippodrome sur une période de 5 jours consécutifs, ce que réclame le Club Jockey, ou s’il peut continuer à le faire pendant 2 fins de semaine, comme c’est le cas depuis 2015.
Ce matin, la greffière de la ville, maître Yolaine Tremblay témoigne. Quand la ville a vendu l’hippodrome à Attractions hippiques, en 2007, elle était assistante-greffière.
Le Club Jockey du Québec est devenu propriétaire de l’hippodrome en 2012, deux ans après la faillite d’Attractions hippiques.