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Le #metoo scolaire : on est malheureusement rendu là

Le #metoo scolaire : on est malheureusement rendu là
Katia Gagnon / Cogeco Média

Alors qu’il y a quelques mois la chroniqueuse Katia Gagnon faisait le bilan du #metoo au micro de Patrick Lagacé, elle prévoyait une vague #moiaussi dans les écoles et les mois suivants lui ont finalement «malheureusement» donné raison.

À l’occasion de sa chronique, jeudi, elle aborde les cas d’attouchements sur des jeunes et des élèves et se demande comment ces gens ont pu sévir pendant autant d’années, sans être repérés et changer d'écoles. Selon elle, l’histoire commence à rappeler celles des prêtres pédophiles qui changeaient de paroisse…

Katia rappelle que le modus operandi est presque toujours le même : l’apprivoisement progressif. On facilite la relation par les échanges informels sur les réseaux sociaux. Ça commence tranquillement, une petite conversation le soir. Les victimes ont ensuite trop souvent l’impression d’avoir consenti.

«Les agresseurs les plus intelligents attendent souvent que les victimes aient gradué, ou changé d’école, ainsi il n’y a plus de relation d’autorité.»

Elle aborde aussi l’enquête sur les violences sexuelles dans les écoles du Québec déclenchée par le ministre de l’Éducation Bernard Drainville en rappelant l'importance que des mécanismes soient en place pour qu'un enseignant ne puisse plus avoir des enfants avec deux de ses élèves par exemple.

Plus avec Patrick Lagacé

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