Dans le Journal de Montréal, les ex-policiers Stéphane Wall et André Gélinas, ainsi que l'ancienne élue Anie Samson, affirment que depuis l’adoption en juin de la nouvelle loi fédérale abrogeant les peines minimales obligatoires, «au moins deux décisions récentes des tribunaux ont donné un aperçu de ce qui attend les Canadiens avec les sentences pour des crimes graves ayant un impact significatif sur le sentiment de justice et de sécurité des victimes et des citoyens».
Et les victimes dans tout ça?
Depuis décembre 2022, juste au Québec, des juges ont rendu des sentences de peines a purger dans la communauté, pour un criminel qui avait notamment :
- été en possession d’armes illégales chargées;
- été impliqué dans une agression sexuelle (dans deux causes la semaine passée);
- commis des voies de fait et de la maltraitance envers un enfant, aussi, la semaine passée.
Écoutez les trois intervenants lors d'un entretien avec l'animateur Luc Ferrandez, lundi.