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Malgré la violente de son acte

Prison à domicile pour un agresseur sexuel

Prison à domicile pour un agresseur sexuel
Luc Ferrandez / Cogeco Média

Un agresseur sexuel bénéficie d’une peine à domicile, en raison de sa réhabilitation et de son faible risque de récidive. 

Malgré une violente agression sexuelle, Jonathan Gravel a évité la prison ferme, lundi. 

Le juge David Simon l’a condamné à 20 mois de prison dans la collectivité, avec sursis.

Le Montréalais de 42 ans a pénétré sans avertissement une femme dans l’anus en 2014. L’agresseur a fait fi des cris de refus de la victime pour poursuivre l’acte. 

Selon le journaliste de La Presse, Louis-Samuel Perron, la décision du juge a fait pester un procureur de la Couronne qui «fustige le gouvernement Trudeau pour avoir ouvert la porte, dans une récente loi, à la prison à domicile pour les agresseurs sexuels». 

Il s’est dit inquiet de ce « retour en arrière » en matière de peine imposée aux agresseurs sexuels.

À l’émission de l’animateur Luc Ferrandez, écoutez Me Julie Couture, criminaliste, qui commente ce jugement pour le moins inusité. 

Plus avec Luc Ferrandez

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