Cinq mois après avoir été remplacée à la tête de la Banque Laurentienne, l’ex-PDG Rania Llewellyn et l’institution financière n'ont toujours pas réussis à s'entendre sur le montant qui lui sera versé comme indemnité de départ.
Écoutez Pierre-Yves McSween au micro de Patrick Lagacé pousser la réflection sur la signification de ces ententes et ce qu'elles peuvent représenter selon différents palliers d'emplois.
«C'est facile quand tu mets fin à un contrat d'emploi avec ce genre de niveau d'emploi-là, quand tu es allé chercher une présidente ailleurs, tu as une espèce de «prenup» d'affaires. C'est-à-dire: si on se sépare, ça va coûter combien? Quel type de rémunération et tout ça. Évidemment, on se demande c'est quoi la réalité. Mais est-ce-que la fin d'emploi de l'ancienne présidente et pour une raison valable ou pas, et comment ça influence la rémunération quand on y pense, c'est avoir une raison valable pour te mettre dehors dans une entreprise cotée en bourse. Ce n'est pas compliqué, ça satisfait ou non les actionnaires, tout est valable finalement. Et là, je me suis dit, tiens, c'est intéressant quand même, ramenons ça au niveau du travailleur.»